lola casamitjana.
photographe, écrivain, artiste.
créer pour lier, découvrir, communiquer.
lola casamitjana.
photographe, écrivain, artiste.
créer pour lier, découvrir, communiquer.
lola casamitjana.
photographe, écrivain, artiste.
créer pour lier, découvrir, communiquer.
projets.
à propos.
Lola Casamitjana travaille avec la photographie et l’écriture à la recherche d’un équilibre entre les médiums dans des projets introspectifs, questionnant notre perception du monde.
Née à Annecy en 1991, d’origines marocaine, italienne et catalane, Lola Casamitjana a quitté la France à 17 ans pour partir à la rencontre du monde, avec dans son sac à dos un appareil photo et de quoi écrire. Depuis, elle a vécu en Inde, aux États Unis et en Belgique et découvert bien d’autres pays, de l’Angleterre au Maroc en passant par la Hongrie, l’Italie et la Grèce.
Après un brevet de technicien scientifique en photographie, une licence en arts plastiques et plusieurs stages (laboratoire, studio et postproduction), Lola Casamitjana créé aujourd’hui des projets mêlant images et textes à travers différents formats : vidéo, édition, diaporama et son, tirages et textes imprimés.
Bouleversée par les attentats de Paris, Bruxelles et Nice, par le faux succès de la COP21 et la montée des extrêmes en politique – Lola Casamitjana explique que l'année 2016 a marqué un tournant dans la manière dont elle aborde son travail.
Si ses inspirations sont multiples – Patti Smith, Lee Jeffries, Ferrante Ferranti, Sophie Calle, John Giorno… elle leur a trouvé des points communs qui nourrissent sa réflexion : une quête de lumière et de connaissance, une expression sincère et personnelle à travers l’art.
Je réalise enfin que je ne vais pas pouvoir rester à regarder l’humanité s’autodétruire. Les questions sont devenues plus pressantes : Comment être artiste dans un monde où il faudrait se battre ? Comment trouver dans l’art ma réponse au chaos ambiant ? Pour moi la transformation ne peut passer que par la connaissance.
Ma réponse est d’utiliser l’art pour interroger, remettre en cause ma perception du monde, l’illusion de notre séparation. Essayer de lier les êtres à travers une conscience de soi, par la réalisation d’une humanité commune.
expositions.
titre. Urban Skin(s)
date. Février - mars 2017
lieu. Gallerie l'Atelier Photographique de Châtellerault
description. X photographies numériques imprimées sur papier mat et encadrées.
"De Paris en passant par San Francisco pour revenir à moi.
Paris m’a séduite par sa beauté, par son vécu, par ses pierres qui me murmuraient à l’oreille, par ces visages et ces corps qui l’habitaient. Dans cette ville où tout va si vite j’ai eu envie de m’arrêter, d’écouter, de lire dans les signes des histoires oubliées. Une majesté, une splendeur mais aussi la solitude, comme une présence douce-amère qui accompagne au cœur de l’immensité. La photographie, une découverte..."
titre. Filtre
date. 15 au 22 janvier 2017
lieu. Théâtre El Duende, Ivry. Projet sélectionné pour le Festival Trait d'Union #1ère édition // discrimination, par la Compagnie les Entichés
description. 19 photographies numériques, dont 4 posters 120x80 et
15 photographies 30x20cm.
"Discrimination. Une plaque de plexiglass. Mon corps.
La discrimination est un sujet entêtant, qui prend à la gorge, qui touche et pourtant ne bouscule plus. Nous pensons savoir ce que ça signifie. Nous avons été sensibilisés. Nous l’avons vécue, subie. Face à cette vision globale d’un mot trop utilisé, je cherche mon sens..."
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vernissage
vernissage
first image of the project
vernissage
titre. Dans ses pas
date. Janvier 2016
lieu. Espace des Arts sans frontières, Paris. Projet sélectionné pour l'exposition Visions Urbaines organisée par l'Association Culturia
description. photographies numériques projetées et enregistrement d'un texte écrit par l'artiste, lu par le comédien Thomas Bouyou, assemblage présenté en format vidéo.
"À travers ce projet, je souhaitais partager avec le spectateur mon regard personnel sur la ville. Lui permettre de s’attarder sur ses possibilités infinies, ces vies innombrables qu’il croise et transforme peut-être et oublie certainement. Lui permettre de voir à travers mon regard, le temps de la présentation, la ville qu’il sillonne souvent sans la voir."
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